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 Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011

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Fred
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Arthur92
nausicaa
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nausicaa

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MessageSujet: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyLun 5 Sep 2011 - 21:07

Une interview est parue dans le Vif/L'Express de cette semaine. Malheureusement, elle n'est accessible que pour les abonnés. Voici donc un copié/collé :



« A 15 ans, on est fou ! »
02 septembre 2011


On s'attendait à ce que l'écrivaine belge, qui possède sans doute autant de chapeaux qu'Imelda Marcos de paires de souliers, surgisse avec l'une de ses coiffes outrancières vissée sur un visage au maquillage gothique. Mais non. Amélie Nothomb apparaît simple, sage, enfantine, même. Légère sous une petite robe noire, chaussée de Converse comme une ado de 15 ans, elle évoque justement, dans son bureau surencombré des éditions Albin Michel, à Paris, cet âge charnière où il arrive qu'on « tourne fou ». Tuer le père, son vingtième livre publié, décrit la jeunesse égoïste et solitaire d'un apprenti magicien dont les comportements assez tordus prennent pour cadre le festival hippie (et contemporain) Burning Man, dans le Nevada. Les States, les drogues qui déménagent et la puberté frappadingue, la romancière connaît assurément sa matière...






Le Vif/L'Express : Après le GI obèse d'Une forme de vie, voici que Tuer le père confronte Joe Whip, un jeune magicien du Nevada à Norman Terence, son mentor du même état/Etat... Cela fait deux romans de suite où vous mettez en scène des Américains. Vous les aimez bien, on dirait...

Amélie Nothomb : Mais oui, énormément ! On m'associe beaucoup au Japon, et ça me touche, mais quand j'ai eu 8, 9, 10 ans, je vivais aux Etats-Unis et j'y suis restée très attachée. Lorsque, voici presque un an, des amis magiciens parisiens - il semble que je sois l'auteure fétiche de ce milieu - m'ont proposé de les accompagner au festival Burning Man, près de Reno, j'ai foncé. J'avais déjà « fait » Torhout-Werchter dans les années 1980, puis Rock en Seine, à Neuilly, en 2007, j'en avais adoré les ambiances, mais je ne m'attendais pas à ce que ceci me plaise autant... Burning Man, qui se déroule chaque année, depuis deux décennies, à la fin août dans le désert Black Rock du Nevada, est une expérience psychologique extraordinaire. Son mot d'ordre est « Leave no trace ». Donc, en quittant les lieux, on ramasse tout, mêmes ses déjections... Et comme chacun, suivant le principe de self-reliance, est également responsable de sa propre subsistance (et que ça ne se fait pas de mendier), on y apporte ses vivres et son eau pour une semaine. Très conscientisant, ça, parce qu'il faut parfois choisir entre boire ou se laver...

Dans les frontières de cet événement artistique hors norme (51 000 participants !), l'argent ne peut circuler. Mais le délire permanent y est quasi obligatoire. Sexe, drogues, accoutrements bizarres... C'est presque aussi excentrique que vous, tout ça !

Je le prends comme un compliment, mais Burning Man est beaucoup plus extravagant que moi ! Face à la musique et au domptage du feu, qui sont là des disciplines omniprésentes mais où, malheureusement, je ne suis nulle part, j'ai dû jouer profil bas.

Même pas testé l'atelier de tressage de poils pubiens, que vous décrivez pourtant si bien ?

Pfff, j'ai beaucoup réfléchi à si j'oserais le faire, mais finalement... non, pas eu le cran.

Et c'est là, dans cette cité nomade bariolée, que Joe, votre (anti)héros, fomente sa vilaine vengeance contre son père d'adoption. Ce petit gars-là, sauvage, jaloux, haineux, méprisant, c'est vraiment l'ado dans toute son horreur. Un modèle dans votre entourage ?

Non, Dieu merci, dans ma famille, les gens sont assez gentils. Mais parmi mes jeunes lecteurs, je sais qu'il se trouve des personnalités un peu limites... Il y a une perversité propre à l'adolescence, un besoin à la fois d'être cru et de trahir qui est absolument terrifiant...

Vous l'écrivez sans détour : « A 15 ans, on est fou. » Tout juste ! A cet âge, je tournais en rond dans un champ de patates en rêvant d'être une jument... Et vous, c'était quoi, votre folie ?

J'ai personnellement vécu l'une des scènes que raconte un personnage féminin du roman. A 15 ans, j'étais anorexique au dernier degré. Je ne mangeais rien. Mais rien de rien. Ma mère m'a un jour mis sous les yeux un champignon toxique... Ça a été plus fort que moi, il a fallu que je m'en saisisse et le dévore en cachette. Ça m'a valu un lavage d'estomac aux urgences... Pour le reste, ce sont d'autres expériences sur mon corps. Ma mère enfonçait littéralement des aliments dans ma bouche pour que je mange. Ah, tout ce que j'ai pu imaginer pour ne pas les garder !

A propos du corps... Vous dites qu'en général « nous ne l'occupons pas, ou alors si mal que c'en est une pitié, un gâchis ». Vous avez fini par l'aimer, votre enveloppe charnelle ?

J'éprouve encore des difficultés. Si j'avais le temps, je ferais certainement de la danse. Rien de tel pour se réconcilier avec son corps. D'ailleurs, quand j'étais petite, je voulais devenir danseuse étoile. Je suivais des cours de danse, aux Etats-Unis, puis mes parents ont déménagé au Bengladesh, et ce n'était pas vraiment la même chose...

Vous vous glissez quand même volontiers dans vos romans...

Peut-être parce que je suis née un 13 août, le même jour qu'Alfred Hitchcock. Il s'est souvent placé dans ses films...

Et dans Tuer le père, vous vous déguisez en Amélie Nothomb, avec un grand chapeau, mais sans ouvrir la bouche pour qu'on ne reconnaisse pas votre voix. Elle est un peu bizarre, non ?

Ooooh oui. Si le compartiment à couverts du lave-vaisselle pouvait parler, il aurait sans doute ma voix. Elle est tellement métallique ! Je sais qu'il y a des gens qui ne l'aiment pas. Et d'autres qui ne m'aiment pas, comme auteur ou comme individu. Mais, comme je l'ai déjà dit, je suis seulement ce que je peux être, je ne maîtrise ni ce que je suis ni (encore moins) les regards que les autres portent sur moi.

Votre succès a débuté très tôt, vous n'aviez pas 17 ans. Depuis, vous n'avez jamais cessé d'écrire. Combien de manuscrits dorment dans vos tiroirs ?

J'en suis à mon 72e roman écrit. Mais ils ne sont pas « en attente » de quoi que ce soit. Chacun d'eux correspond à une vraie grossesse, suivie d'un véritable accouchement. Et leur non-publication ne signifie aucunement le non-amour de leur mère...

Parmi les vingt publiés, il y a quand même un petit chouchou ?

Vraiment pas. Ce sont tous mes enfants. Bien sûr, il y a parfois des problèmes de discorde. Ainsi Mercure et moi avons connu une longue brouille, dès sa publication, en 1998. Ça s'est arrangé depuis lors... Mais je publie toujours un manuscrit parmi les « frais de l'année » : j'en rédige trois par an, et je choisis l'élu en hiver...

Mais pourquoi écrivez-vous autant ?

Une culpabilité énorme explique mon hyper-fécondité. Coupable de quoi ? Je n'en sais rien. Je n'ai pourtant rien commis de grave... Ce sentiment est apparu vers 12 ans et m'empoisonne l'existence depuis lors. C'est l'écriture que je pratique quotidiennement pendant quatre heures qui me sauve. Voilà mon combat contre mon moi coupable. Mais c'est un tonneau des Danaïdes : le remède est de courte durée, et je dois me remettre à l'ouvrage tous les matins, avant toute chose. En général, à l'aube, entre 4 heures et 8 heures...

Google compte plus d'un million d'entrées à votre nom. Il y a même un site, antechrista.info, consacré entièrement à votre univers. Vous arrive-t-il de le documenter directement ?

Je n'ai rien à voir avec ça. Que les choses soient claires : dès qu'il s'agit de quoi que ce soit sur Internet, ça ne vient pas de moi. Je n'y suis jamais allée de toute ma vie. Je n'ai même pas d'ordinateurà

Comme Terence, le gentil de l'histoire, vous n'aimez peut-être pas non plus « l'idée d'être là où tout se passe » ?

Non, ce n'est pas mon cas - même si la position de mon personnage est sûrement plus sage. Non, moi je vis justement là où tout se passe, à Paris, pour des raisons éditoriales et amoureuses. Mais j'ai aussi besoin de la Belgique, et d'y revoir régulièrement ma grande s£ur Juliette.

Selon vous, « le Japon est le pays de la beauté ; la Chine, celui de la laideur. Et la Belgique ?

C'est le pays le plus bizarre de toute la planète.

Quel est l'endroit sur terre où il vous semblerait le plus affreux d'avoir à passer du temps ?

Probablement la salle d'attente d'un aéroport, qui est l'antichambre de l'enfer. Je suis incapable d'y lire ou d'écrire. Heureusement, j'ai découvert récemment un petit outil qui m'aide à surmonter cette épreuve : l'iPod. J'oubliais : il y a aussi la ville de Baltimore, au Maryland, très déprimante.

Très éloigné du « climat » de Burning Man... pour lequel vous avez mené des recherches quasi scientifiques, en matière de musique, de magie et de psychotropes !

Bon, pour la magie, ce sont mes amis qui m'ont initiée aux secrets des jeux de cartes. C'est un milieu très, très beau, qui me fascine beaucoup. A Burning Man aussi, d'ailleurs, c'est plein de beautiful people. Des gens physiquement magnifiques, splendides comme des totems, qui semblent avoir atteint une sorte d'accomplissement de l'amour.

Waving the Kings, Interlaced Vanish, Silver Slide, Unshuffling Rebecca... les noms de ces tours de magie classiques résonnent comme ceux de chevaux de course !

C'est vrai. J'ai aussi rencontré David Copperfield, mais à Burning Man, j'ai surtout fréquenté un petit cercle de Français moins connus - ceux qui m'ont introduit au très privé « Illegal Magic Club », près de la Sorbonne. Savez-vous que le côté énervant des Parisiens n'existe pas chez les magiciens ? Pour les danseurs de feu, il n'y avait qu'à ouvrir les yeux sur place : le feu rythme le festival, il est partout, et rien ne fascine comme lui. Le feu est le meilleur danseur de l'Univers. Et des artistes lui vouent leur vie, qu'ils mettent constamment en péril.

Côté musique, vous semblez troublée par le dubstep. C'est quoi, au juste ?

C'est un genre musical urbain, futuriste, qu'on prétend né à Londres en 2000 mais c'est faux, je puis vous assurer qu'il est apparu à Burning Man deux ans plus tôt. Ça donne une atmosphère métallique, introspective, guidée par l'énergie physique des basses fréquences qu'on dirait passées au fer à friser. Dans le désert entouré d'énormes montagnes de roches qui jouent caisse de résonance, ça fait (mais je suis la plus mauvaise imitatrice qui soit) drzrzrzroooing en permanence.

Et votre expertise en matière de drogues, elle vient d'où ?

J'ai lu de la littérature sur le sujet. Notamment Acid Test (1968), de Tom Wolfe, l'un des récits fondateurs de la culture psychédélique. Dans ce roman sur le LSD, Wolfe réussit le prodige de décrire les effets de la drogue sans y avoir aucunement goûté.

Et vous ?

Moi, j'ai testé le LSD et tout ce dont il est fait mention dans mon livre. Sauf la cocaïne, qui est du « pur speed », une drogue de droite, bête et pas intéressante. A Burning Man, tout circule, sous la surveillance discrète de policiers en civil. Il y a une tolérance. Donc, j'ai essayé. C'est comme d'aller en Inde, on y mange du curry ; on va à Burning Man, eh bien forcément... Mais je suis au courant qu'il y a un vrai danger et je n'en fais pas du tout la publicité. Il faut vraiment se connaître. Il y a des gens qui réagissent très mal aux drogues. Les personnalités paranoïaques et les schizophrènes ne doivent pas y toucher, au risque pour eux d'y rester perpétuellement « bloqués ».

... Et ?

Les champignons hallucinogènes et le LSD déclenchent un vrai voyage qui dure une demi-journée. Ou plutôt 100 000 ans, en vérité...

Dites, vous êtes allée où, comme ça ?

En tant de lieux différents ! Ce qu'il y a de formidable, pour moi, c'est qu'à ces moments-là ma culpabilité enfin disparaît.

Vous avez donc pu vous mettre quelques jours en congé d'écriture !

Hélas non. Même pas, puisqu'un trip ne dure que douze heures...



Interview par Valérie Colin



L'article est accompagné notamment de cette photo que je n'avais jamais vue :

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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyLun 5 Sep 2011 - 22:21

Merci !

Toutes les questions ne sont pas forcément pertinentes, mais l'interview a le mérite d'être originale !
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyLun 5 Sep 2011 - 23:10

je connaissais cette photo ! c'est une série de 3 toutes prises dans le meme cimetière !

l'interview est sympa, mais c'est dingue que toutes les questions et certainement celles prochaines de ses conférences en dédics et en interviews ne font que tourner autour de l'expérience qu'elle a vécu au Burning man... On ne parle jamais du livre, de l'écriture de celui ci... Ce qu'à vécu Amélie la bas est extraordinaire, la magie, les tours de cartes aux noms imprononçables, l'ambiance, pourquoi on n'a pas retrouvé toute cette fièvre dans son roman (il n'y a que les 3 ou 4 pages sur les Firedancers qui en témoignent vraiment)
Amélie aurait pu (en tout cas, moi c'est ce que j'attendais avec un sujet et un lieu pareil) nous transporter et nous faire rêver sans que ce soit autobiographique pour autant... ben non moi je suis resté sur ma faim, l'impression de n'avoir pas fait tout le voyage, juste une petite étape...

Merci pour le partage en tout cas !
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Fred
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyLun 5 Sep 2011 - 23:59

merci Nausicaa
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyMar 6 Sep 2011 - 0:51

J'ai rêve ou dans une autre itw, Amélie dit que c'est son éditeur américain qui l'a incitée à aller à Burning Man, alors que dans Le Vif, elle déclare avoir été invitée par ses amis magiciens?

Et une deuxième question. "Votre succès a débuté très tôt, vous n'aviez pas 17 ans". Amélie a-t-elle fait quelque chose de notoire avant Hygiène de l'assassin ou bien cette journaliste raconte-t-elle n'importe quoi?
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyMar 6 Sep 2011 - 9:05

je pense que la journaliste s'est mélangée dans ses infos entre l'âge où amélie a commencé à écrire de façon régulière et la publication de son 1er roman... Smile
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Madame Musquin
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyMar 6 Sep 2011 - 10:51

nausicaa a écrit:
J'ai rêve ou dans une autre itw, Amélie dit que c'est son éditeur américain qui l'a incitée à aller à Burning Man, alors que dans Le Vif, elle déclare avoir été invitée par ses amis magiciens?
Ah, j'ai toujours entendu dire qu'elle y avait été d'elle-même !
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyMar 6 Sep 2011 - 13:34

Madame Musquin a écrit:
nausicaa a écrit:
J'ai rêve ou dans une autre itw, Amélie dit que c'est son éditeur américain qui l'a incitée à aller à Burning Man, alors que dans Le Vif, elle déclare avoir été invitée par ses amis magiciens?
Ah, j'ai toujours entendu dire qu'elle y avait été d'elle-même !

idem! Apres peut-etre qu'elle veut preserver sa vie privee et eviter des questions...

J'aime bien cette interview!
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptyMar 6 Sep 2011 - 22:14

merci ^^ ah moi je connais les photos, elles sont postées sur mon forum!
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EricJean

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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 EmptySam 17 Sep 2011 - 20:05

Citation :
Moi, j'ai testé le LSD et tout ce dont il est fait mention dans mon livre. Sauf la cocaïne, qui est du « pur speed », une drogue de droite, bête et pas intéressante. A Burning Man, tout circule, sous la surveillance discrète de policiers en civil. Il y a une tolérance. Donc, j'ai essayé. C'est comme d'aller en Inde, on y mange du curry ; on va à Burning Man, eh bien forcément... Mais je suis au courant qu'il y a un vrai danger et je n'en fais pas du tout la publicité. Il faut vraiment se connaître. Il y a des gens qui réagissent très mal aux drogues. Les personnalités paranoïaques et les schizophrènes ne doivent pas y toucher, au risque pour eux d'y rester perpétuellement « bloqués ».
AN parle de "la cocaïne, qui est du « pur speed », une drogue de droite, bête et pas intéressante". Je ne savais pas qu'il existait des drogues "de droite" (et donc par conséquent des drogues de gauche)...
De même, lorsqu'AN dit qu'il y a "des gens qui réagissent très mal aux drogues" et que "les personnalités paranoïaques et les schizophrènes ne doivent pas y toucher", j'ignorais que les individus sains d'esprit peuvent a priori en consommer sans aucun risque pour leur santé mentale...
Mme Nothomb semble cependant parler en connaissance de cause et en connaisseuse de drogues. Je me garderai donc bien de la contredire sur ce sujet.
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MessageSujet: Re: Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011   Interview dans Le Vif/L'Express du 02/09/2011 Empty

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