Critiques des journaux pour Ni d'Eve, ni d'Adam

J'ai commencé à regarder ce que disent les journaux du nouveau bébé , voici ce que j'ai trouvé ( sans censure ^^)

http://www.ecrannoir.fr/actu/index.php?ac=190 Ecran Noir ( long texte )

Nouvel Obs :"Côté romans, Amélie Nothomb n'avait pas tout dit sur le Japon : elle revient sur sa vie à Tokyo dans «Ni d'Eve ni d'Adam» (Albin Michel). Chez Albin toujours,"

Libé :"D’autres, plus expérimentés, sont fidèles au rendez-vous de septembre. Pas de rentrée sans Amélie Nothomb: 16 romans en 15 ans. Dans «Ni d’Eve ni d’Adam» (Albin Michel), la Nothomb retourne au Japon, où elle avait déjà situé l’action de l’un de ses meilleurs livres, «Stupeur et tremblements» (Grand prix du roman de l’Académie française).
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ELLE "
L’Amélie-mélo
Amélie Nothomb est là, et bien là : on est heureux de vous annoncer que « Ni d’Eve ni d’Adam » (Albin Michel) signe son retour (au Japon) gagnant. "

JDD "Comme d'habitude, vous allez vous ruer sur le nouveau roman d'Amélie Nothomb. Cette année, vous aurez raison. Avec Ni d'Eve ni d'Adam(Albin Michel, 245 pages, 17,90 euros), elle renoue avec la veine nipponne de Stupeur et tremblements. En ce temps-là, elle donnait des cours de français à un jeune homme de Tokyo, devenu son fiancé et son amant. Comment a-t-il conquis Amélie, comment s'est-elle dépêtrée du piège du mariage... Tout en subtilités, exquises drôleries et cruautés culturelles. "

C'est Amélie qui sera heureuse de voir ça ( et Albin Michel aussi .... )

Merci

Merci pour cet article Janus^^

Critique moyenne dans "La Libre Belgique".

http://www.lalibre.be/article.phtml?id=5&subid=103&art_id=366005

"AUTOBIOGRAPHIQUE

Les fiançailles japonaises d'Amélie
Geneviève Simon

Mis en ligne le 24/08/2007
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L'autre versant d'un séjour narré dans "Stupeur et tremblements"


Amélie Nothomb a passé les cinq premières années de sa vie au Japon. Lorsque, seize ans et quelques déménagements (au gré des affectations de son père, ambassadeur) plus tard, elle remet les pieds en terre nipponne, ce n'est pas par hasard. Marquée à jamais par une prime enfance heureuse, elle débarque en janvier 1989 dans ce pays adoré avec la ferme intention de s'y installer. Il y a dix ans, dans "Stupeur et tremblements", elle a narré ses déboires d'employée dans l'une des plus grandes compagnies japonaises. "Je menais une double vie. Esclave le jour, fiancée la nuit." Avec "Ni d'Eve ni d'Adam", elle offre donc au lecteur l'autre versant d'un séjour particulier qui, on le sait, se solda par l'échec.

TERRITOIRE LICENCIEUX

À peine arrivée au Japon, Amélie Nothomb cherche à donner des cours de français. Son premier élève se nomme Rinri, et il ne sera ici question que de lui. Très vite, elle a pour cet être singulier de l'amitié, de la tendresse. Issu d'un milieu aisé (elle le soupçonnera d'ailleurs d'être lié à une certaine mafia), il aime à l'emmener dans sa belle voiture blanche, quand la séduction s'opère notamment par le verbe. Elle admet d'ailleurs que "la langue française représentait sans doute ce territoire à la fois prestigieux et licencieux où l'on pouvait s'encanailler de sentiments inavouables". Rapidement, maître et élève deviennent amants. Et si Rinri se révèle des plus attentionnés, Amélie mettra du temps à oser répondre par la négative à sa demande en mariage. Plus effarouchée par la promesse de se lier que par cet homme à qui elle n'a fondamentalement rien à reprocher, elle s'enfuira, un peu honteuse, pour rejoindre Juliette, sa soeur tant aimée, et retrouver une Belgique qu'elle connaît peu. Les différences culturelles - Amélie apprécie la plupart des coutumes locales - ne sont donc pas en cause.

Hommage à un pays, son mont Fuji, sa culture, sa cuisine, "Ni d'Eve ni d'Adam" permet à l'auteur d'"Hygiène de l'assassin" et de "Métaphysique des tubes" de renouer avec l'autobiographie, genre qu'elle n'avait plus abordé si frontalement depuis "Biographie de la faim". À l'en croire, ce roman aux allures de récit serait particulier en ce qu'"il n'est pas banal que j'écrive une histoire où personne n'a envie de massacrer personne". Avec cette composition annuelle, A.N. signe un dix-septième titre à l'écriture soignée mais sans relief particulier si ce n'est une dose caractéristique d'autodérision. Un roman qui, quoi qu'en dise la critique, devrait ravir ses fidèles et nombreux lecteurs. Et asseoir un peu plus le singulier destin de son auteur."

Il y a une bonne critique dans le nouveau magazine Muze ( celui avec Vanessa Paradis en couverture) l'article fait une page, je suis désolée je n'ai pas de scanner)
Ainsi qu'une interview croisée Amélie Nothomb / Nathalie Rheims dans le dernier magazine psychologie, si quelqu'un a l'ooportunité de les mettre en ligne :-)

Oui ca serait bien ... On va patienter un peu en esperant avoir les scans ...

Ravie par les critiques du dernier roman !

J'ai acheté "Psychologies".
L'interview d'Amélie nous en apprend beaucoup sur les ressorts de l'écriture. A lire...

Morceaux de critiques choisis par Albin Michel:


« Il est comment, le nouveau Nothomb ? Très bon !
Moins railleuse, plus lumineuse, elle nous mène au sommet du mont Fuji avec une sensibilité nouvelle. »

ELLE.


« Excellente rumeur pour la cuvée 2007 de
l'irremplaçable Nothomb. »

Madame Figaro.


« Peut-être le plus beau de ses romans. Parce qu'Amélie Nothomb
renoue avec la veine de Stupeur et tremblements,
la plus personnelle, la plus juste. Parce qu'en la lisant,
on rit, on pleure, on n'a qu'une envie : partir découvrir le Japon. »

Tatiana de Rosnay, Psychologies.



« Comme d'habitude, vous allez vous ruer sur le roman
d'Amélie Nothomb. Vous aurez raison.
Tout en subtilités, exquises drôleries et cruautés culturelles. »

Bernard Pivot, de l'Académie Goncourt, Le Journal du Dimanche .


Source: http://www.rentree-litteraire.com/pages/nothomb.htm

merci Elrond !!!

Merci

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Citation :

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Bonne idée !
Je ferai cela mardi, je suis en repos !